J'avoue.
Je suis en retard pour le Granny Challenge Square, je ne vous ai pas encore montré la progression de mon étole, je n'ai programmé aucun billet.
Bref !
La semaine a été bien chargée.
J'ai d'abord fait des aller-retour entre Cergy et la maison pour recevoir le Darshan d'Amma, puis j'ai passé la plupart de mes nuits debout parce que j'étais malade, puis j'ai emmené les enfants à un atelier de cuisine où nous avons appris à faire le couscous et les pâtisseries orientales, puis nous sommes allés à un Festival des arts et traditions de l'Inde, puis j'ai amené les enfants chez un copain, puis je suis allée les chercher, puis j'ai passé du temps avec une amie dans un salon de thé pour discuter d'un projet puis... puis, ceci et cela... sans compter ce qu'il y a eu à faire et à vivre entre tout ça.
Ce matin, une copine m'a parlé d'une dame, kurde d'Irak, rencontrée récemment.
Je ne connais pas encore les détails mais grâce à une action menée autour du crochet, cette dame soutient une centaine de familles dans son pays.
Ma copine aimerait l'aider et pour ce faire, elle a plein d'idées.
Moi aussi, mais le temps nous manque.
Si je vous raconte tout ça, c'est pour dire que non seulement le crochet n'est pas ringard mais qu'en plus il peut être un incroyable tremplin
Promotion d'un savoir-faire traditionnel, partenariat avec des stylistes, action sociale, transmission de techniques, édition etc.
De mon côté, pour le moment, je cours après le temps et j'espère ne pas en arriver à la frustration.
Je multiplie les contacts qui viennent à moi sans que je les cherche en faisant confiance à la Vie.
Si je dois faire quelque chose dans ce domaine, ça se fera, à un moment ou à un autre.
Quoi qu'il en soit, j'aime beaucoup la symbolique du fil, de la pelote que l'on dévide, du lien, du tissage...

Je tiens plusieurs blogs sur différents thème et la video que certaines d'entre vous ont peut-être aperçu un bref instant avant qu'elle ne disparaisse  était une erreur de destination. Je me suis empressée de supprimer la page sur laquelle elle apparaissait pour me raviser ensuite et vous l'offrir puisqu'elle traite justement de l'erreur (quelle beauté cet manqué...) Ce qui y est dit vaut pour toute la vie, dans le domaine du crochet comme dans n'importe quel apprentissage. Je suis heureuse, très heureuse même, de la partager avec vous car je fais le pari qu'après l'avoir visionnée, vous aurez le coeur plus léger et que le message véhiculé vous accompagnera longtemps.

C'est pas du crochet, certes, mais je suis sûre que vous avez eu, tout comme moi, à prendre des décisions face à des erreurs et des ratages dans vos réalisations.

Les erreurs sont des petites merveilles, des cadeaux que l'on devrait accueillir avec joie. Si la lecture de la biographie du peintre Hundestwasser vous tente, vous lirez avec bonheur ce qu'il en dit. L'accroc sur la chemine, la craquelure d'une façade qu'il magnifie au lieu de les camoufler comme des choses honteuses sont incroyablement touchant.

Au salon Aiguilles en fête, une étudiante de l'Ecole de la maille de Paris, a raconté, lors de la présentation de son projet, que le jacquard sur lequel elle avait passé beaucoup de temps, a craqué. N'ayant plus la possibilité de reprendre son travail tout en respectant les délais, elle s'est trouvée dans l'obligation de faire de cette déchirure un atout, ce qu'elle a parfaitement réussi puisqu'elle a transformé cette partie du sac en une jolie poche qui donnait toute l'âme à sa pièce.

(J'aurais beaucoup aimé vous montrer ce dont il s'agissait mais la seule photo que j'ai trouvée c'est celle-ci et malheureusement, la personne n'y figure pas. Je me demande si je ne vais pas prendre contact avec l'école pour avoir une photo).

Et personne ne m'a dit :

- Eh MailleEnLair, tu ne te serais pas un peu plantée par hasard dans ton billet du 08 mai ?
Non parce que Lettre ouverte à Elise, on l'a déjà écoutée.

***
Voilà ce qui était prévu au programme si je n'avais eu pas de courant d'air dans la tête :

Clémence en vacances

C'était quand même plus raccord avec la blague du siècle journée de la femme...
Et ce 08 mars alors, c'était comment ?

À part ça, j'ai presque terminé le pull noir.
Je n'ai plus que le col à monter et quelques fils à rentrer.
Pourquoi je mets autant de temps ?
Je dois m'appeler Clémence depuis quelques temps.
J'ai bien assez tricoté, bien assez cuisiné, bien assez veillé, bien assez ceci et cela.
Pas de vacances en vue avant des mois alors je traîne les pieds même pour le tricot/crochet et je gratouille souvent ma guitare en chantonnant Clémence en vacances.
Vive la méthode Coué.

Deux en cours terminés : le petit sac orange et la couverture Elmer #2.Vous connaissez l'adage, jamais deux sans trois.
Encore un, et je serai à peu près sûre d'avoir véritablement enclenché un processus qui me permettra de  venir à bout de cette liste.
(à gauche du blog dans la colonne des liens).
J'ai besoin de place, chez moi et dans ma tête.
Tout ça date d'une période durant laquelle la traversée de la vie ne se faisait pas sans peine.
À présent que les choses ont repris un cours plus serein, j'éprouve un besoin impérieux de mettre de l'ordre un peu partout, de boucler les boucles et d'aller jusqu'au bout.
J'en ai souvent parlé, je me suis même inscrite sur le blog Nos ouvrages oubliés sans me donner tous les moyens nécessaires pour concrétiser.
Je ne prends aucune résolution car c'est pour moi, la pire chose que je peux faire à mon esprit de contradiction.
Disons que je me le dis en vous prenant à témoin et j'agis l'air de rien.
J'ai fait la liste de mes travaux inachevés comme indiqué plus haut.
Les vacances sont là, nous sommes tous réunis, heureux et en pleine forme (ok, sauf moi mais je me dépêche de guérir).
Tout ceci me semble débuter sous de très bons auspices...

J'n'ai pas envie de tricoter (et pourtant, il est reste si peu à faire), pas envie de crocheter, pas envie de dessiner, pas envie de ci, pas envie d'ça.Non, je ne déprime pas, je rêve.
Je ne sais pas ce que j'ai.
On dirait que je flotte, vous savez, comme après les années difficiles dont on sort un peu hébété.
Les décélarations ça sidère un peu.
Là, la lalala lalala vie va, toute douce, toute droite.
Il me faut un peu de temps pour m'ajuster.
Voilà pourquoi, je croâ, je reste là comme ça et que ça n'avance pas.

***

J'vais m'reprendre, j'vais m'reprendre... un p'tit billet avec des morceaux de crochet dedans sur l'air du Gai laboureur, ça nous chang'rait...

D'ici là, écoutez ça : Lettre ouverte à Elise (non, je dis pas de qui, comme ça, si vous ne connaissez pas déjà, ça laisse un peu de suspens).

À très bientôt.

Je voudrais crocheter un chemin de table pour ma belle-mère (dimensions aproximatives : 120 cm x 35 cm). J'aime ma belle-mère et je veux lui offrir ce cadeau pour son anniversaire (à la fin de ce mois) je cherche un beau modèle donc (je précise, au cas où ;-)).
Le hic, c'est que je ne sais pas où trouver un modèle sympa.
N'étant pas fana de ce style, je n'ai aucun repère dans ce domaine.
Son intérieur est plutôt rustique.
Auriez-vous un ou plusieurs liens, un bouquin ou je ne sais quoi à me suggérer ?

(Je pensais trouver un magasine de crochet en kiosque mais je ne parviens pas à trouver un qui ait ce style de revue. Je ne dois pas aller où il faut et ma mercière n'en propose plus à la vente. Les parisiennes, si vous avez une adresse, aidez-moi s'il vous plaît).

... ça va sans doute, comme moi, vous laisser songeuses...
Version textile :
Suzanne Lee : Grow your own clothesce
Pour avoir le sous-titrage en français, il suffit de clique sur languages en bas à gauche sous la video

Suzanne Lee

La version artistique :
Nöle Giulini

La version santé
Kombucha(par précaution, je précise que ce n'est pas pour inviter à en consommer mais  juste pour faire un inventaire des diverses utilisations que l'on fait de cet organisme vivant)

***

Et si on pouvait en faire du fil à crocheter, hum ?

... pas de crochet, pas de crochet ! (ohlala, quel sens de la  formule, hum)
Aujourd'hui, c'est guitare (cours) ET ukulele (atelier d'initiation).
Le chemin de table est à moitié fait.
Ca avance plus vite que je ne le pensais.
À cause de froid, la visite chez belle-maman a été reportée.
Avec ce petit sursis, j'ai une chance d'arriver avec mon cadeau !
Bonne fin de semaine à vous.

Un peu de musique pour la route ?
J'aime bien le rose que je mets dans ma vie...

clic
(Jake Shimabukuro)

... mais je me suis attelée au pull noir évoqué dans mon précédent billet.Si je n'aimais pas tant le tricot, je dirais que c'est un vrai cauchemar car je ne vois rien de ce que je fais.
Il fait sombre et je ne peux pas toujours restée collée à la lampe.
Brrrref !
J'en suis à peu près au tiers.
Je termine et je reviens par ici.

À très bientôt.

Aujourd'hui, pas de chanson mais de la musique, celle de Levon Minassian jouant du duduk.

S'il vous plaît, dites-moi, dans quel pays vivons-nous ?
Pays des droits de qui ?
Que voyons-nous ?
Des bêtes ?
La trêve hivernale a été prolongée... pas pour tout monde (ils ne sont pas locataires, suis-je bête).

Lundi matin à Vigneux (91), environ 500 personnes ont été expulsées par les CRS suite à un arrêté préfectoral. Les bénévoles et les salariés du Secours Catholique qui épaulent les Roms rappellent que les évacuations ne sont pas la solution.

Les familles Roms du bidonville de Vigneux-sur-Seine expulsées

Mais qu'est-ce que c'est qu'ce monde ??!!??
Ici, en France, c'est encore plus inacceptable que partout ailleurs à cause des droits de ... (je n'ose même plus l'écrire tellement j'ai honte), à cause de sa devise.
Liberté, égalité, fraternité ?!?
Où ça ???

Il y avait des Roms au bout de ma rue il n'y a pas si longtemps.
Ils sont restés pendant des mois.
Ils laissaient les trottoirs dégueulasses.
Ce n'est pas ça qui me faisait mal au coeur.
C'était ce qu'on en disait, c'était de les voir essayer de vendre leurs guenilles, c'était de les voir chargés comme des baudets, c'était d'entendre que l'état des trottoirs comptait plus qu'eux, c'était de les voir errer d'un lieu à un autre pour éviter la police, c'était de voir la police les traquer, leur donner la chasse.
Ah maintenant, les trottoirs sont bien propres.
Où sont ces Roms ?
Où sont-ils ?!?

Je suis bien contente de vous retrouver.

Aujourd'hui, je propose, aux amoureuses des chats, un ptit tuto très chouette à faire.
L'un des notre adore dormir dans le sac à dos que nous utilisons pour faire les courses.
Qu'il soit par terre ou accroché au dossier d'une chaise, il arrive toujours à ses fins et nous fait toujours craquer aussi, je me suis promis de lui crocheter ce nid douillet.

Toutes mes excuses pour les non-anglophones (je pense qu'en utilisant un traducteur en ligne, vous parviendrez à vous débrouiller).

***

Aparté :

J'ai tenté de faire le tri et réorganiser mes liens (colonne de gauche).
J'espère que vous vous y retrouverez mieux.
Si d'aventure il restait des liens morts, je vous invite à me les signaler.

Bien que je trouve désolantes ces journées de qui me font irrémédiablement penser à la journée de la haine dans le film 1984, je profite, malgré tout, de la belle l'occasion pour partager avec vous cette chanson d'Anne Sylvestre que j'aime beaucoup au point de l'écouter en boucle (j'ai un alibi, je cherche les accords pour la guitare mouarf...)

Je crois que tout le monde l'aura compris : rentrer les fils, c'est long, fastidieux et inintéressant.
Grâce à Isaart27 qui m'a posé la question sur ma page Flickr j'ai trouvé cette video en faisant des recherches pour lui répondre.

Cette technique est parfaite !
À chaque changement de couleur, le fil est bien maintenu et rien ne dépasse.
Tout se fait au fur et à mesure.
Exit la corvée du "rentrage" de fils...

Après trois semaines de maux de gorges vraiment douloureux, j'émerge enfin.
Je suis encore un peu flagada mais je crois qu'enfin, je tiens le bon bout.
Pour commencer l'année, c'est bien agréable et j'espère que pour vous, tout va également dans le bon sens.
Comme je suis occupée par les finitions d'une brassière tricotée, je vous proposerai des ptits liens susceptibles de vous plaire (je les aime beaucoup alors, je suppose qu'il en ira de même pour vous) jusqu'à ce que je reprenne mon crochet.

Aujourd'hui :

Les chaussons roses

Et d'un !

Faute d'avoir le temps et surtout l'envie d'aller plus loin, j'ai tout défait.
Comme souvent, je n'avais pas l'intention de faire quelque chose de particulier hormis essayer*  ce point et emportée dans mon élan...

Et puis, c'est une manière certes radicale mais rapide, sage et efficace pour diminuer ma liste...

***

Je suis toujours attelée au pull noir qui est im-men-se, bien trop grand pour mon fiston qui a insisté pour que je ne défasse rien.
À mon avis, il pourra le mettre soit en robe, soit pour ses vingt-cinq ans (oui, oui, oui, vous pouvez rigoler à condition que vous racontiez vos mésaventures que je me marre moi aussi).
Il voulait le porter loooontemps sauf que là, je crois que ça ira au-delà de ses espérances.
Je crois que je sui quitte pour en tricoter un autre... à sa taille !
Je rigole toute seule en vous l'écrivant et si j'écris en tout petit, ce n'est pas pour vous faire plissez des yeux mais, si je veux raconter mes bêtises, je ne peux, décement pas l'écrire en grand...

Je suis sûre que vous me comprenez !!

* Bon sang mais c'est bien sûr, en relisant mon billet d'alors, c'était écrit noir sur blanc (on ne va pas chipoter sur les couleurs hein) je cite : un premier et dernier essai.
Si seulement je me relisais de temps en temps...
Aaah, pour fêter ça, je vais m'offrir un petit essai tiens

***

Je vous laisse avec une petite merveille pour le coeur et les oreilles
Quand une femme - Gérard Manset

Je me suis lancée dans la réalisation du fameux sac boule (tuto chez Mam'zelle Flo)
Chacune y va de son interprétation.
J'ai déjà bien avancé et je suis restée fidèle à moi-même dans le choix des couleurs.
Alors que je crochetais au square pendant que les enfants jouaient, une africaine, qui passait par là, a jeté un long regard sur mon granny en cours.
Je lui ai dit :
- ça vous plait ?
Elle a acquiecé en m'adressant un large sourire.

Vous attendez que ce soit fini ou vous voulez voir l'en cours ?

J'aime tant d'autres choses.

Cet après-midi, une amie m'a fait découvrir ce trio :

Tighri Uzar (La voix des racines)

Les videos ne rendent que très mal l'atmosphère qui se dégage lorsque ces trois femmes se mettent à chantent et que l'assistance participe avec beaucoup d'émotion à ce qui se passe sur scène. C'était à la fois très joyeux et très triste. Grands sentiments et événements de la vie sont chantés, plus ou moins fortement avec des voix envoûtantes qui nous ramènent à l'état de l'enfant qui s'endort contre le corps de sa mère tandis qu'elle parle. La voix de la mère à la fois proche et lointaine, la cadence de son coeur, sa chaleur, son mouvement et l'abandon à la petite mort, au creux de ses bras. Cette langue là se comprend par tous.

En plus du chant, de la voix, il s'agit de sauver de l'oubli des trésors de la culture berbère.

Un grand merci à H.

Je me suis inscrite au concours de Laine Box dans la catégorie intitulée Galerie Granny (numéro 15).
Les votes sont ouverts jusqu'au 19 juin.
Il faut d'abord s'inscrire sur le site pour pouvoir accéder à la rubrique.
Vous pouvez voter plusieurs fois d'ici le 19 (mais une seule fois par jour).
Je vous remercie par avance pour votre participation :-)

Est-ce que ça suscite une émotion telle que, comme moi, vous avez les yeux embués (pour ne pas dire que j'ai pleuré à chaudes larmes) ?
La love police a oeuvre en Ile de France. Pour celles qui prennent le métro, qu'en est-il dans votre région ?

Dans le métro parisien, c'est beaucoup plus... beaucoup moins... enfin comment vous dire ?
Je trouve les français parisiens affreusement coincés et tristes et ça me fait très mal au coeur.

Qu'est-ce ça vient faire sur ce blog ?
Et bien, je ne sais pas.
J'ai suivi mon élan et j'ai pensé que ça pourrait vous intéresser.

Et puis, pour tout vous dire, je rêve d'avoir une bonne idée qui passerait par le crochet et (re)donnerait le sourire aux gens.

Mes chères lectrices, les jours passent et rien ne se passe plus par ici.
La gastro a frappé par ici et puis par là.
Nous y sommes tous passé.
Ca va mieux depuis hier.
J'ai quand même réussi à avancer le fameux pull noir en taille quarante-cinq mille (allez, dites-moi que ce serait l'ouverture de la saison des bals et que mon fiston pourra mettre son pull maxi taille, hihihi, j'en rigole encore). J'ai cousu les manches. Reste à assembler les épaules tricoter le col et ce sera une affaire classée.
Je pourrai revenir à ce qui nous intéresse toutes par ici, si vous voyez ce que je veux dire...

En attendant, je vous laisse avec une Lisa Hannigan fraîche et pimpante.

Il se peut qu'un jour, votre homme arrête le DVD qu'il est en train de regarder avec les enfants, qu'il enjoigne l'un d'eux de vous appeler et que vous vous entendiez dire : - assieds-toi et regarde.
Vous vous demanderez alors ce qui vous arrive puis vous le lui demanderez.
Il vous répondra :
- regarde.
Vous ne percuterez pas parce que votre esprit est tourné vers autre chose mais vous vous assierez puisqu'on vous y invite, même si vous ne comprenez pourquoi vous le faites.
Il remettra la séquence exprès pour vous et vous découvrirez, que l'homme avec lequel vous grimpez et dévalez les montagnes depuis vingt ans a noté qu'il y avait dans le film, quelque chose qu'en temps normal, vous aimeriez faire du matin au soir, une chose que vous aimez même en ces temps où le blog reste muet parce qu'une belle rencontre vous réduit au silence et vous détourne de tout ce qui vous procurait du plaisir.
Il prendra la peine de vous laisser atterrir, de réaliser de quoi il s'agit, sans râler.
Vous regarderez mieux et enfin, enfin, vous verrez ce qui l'a fait s'interrompre pour le partager avec vous.
Là, dans cette séquence : une couverture au crochet.
Je vous le dis, l'amour se cache dans les moindres recoins de l'existence.
***
Je vais finir par revenir, mais pour le moment, je suis vraiment ailleurs...

Le blocage ou, comment les solutions et informations arrivent quand on ne les cherche plus.

Puisque c'est l'été, j'ai tout mon temps pour passer au peigne fin tous les sites que jusqu'ici, je n'avais fait que survoler.
C'est ainsi que j'ai découvert le tapis de blocage, les baguettes de blocage et cette video :

Un monde s'ouvre à moi...
Et dire que j'ai jeté les carrés en mousse des enfants... argh.
Quand je dis qu'il est urgent d'attendre. En voici la preuve !
Bon, en attendant, je n'ai plus qu'à déplier la planche à repasser pour continuer le fastidieux blocage des carrés...

Je suppose que je ne peux pas vous montrer la photo directement, dans la mesure où elle ne m'appartient pas aussi, je vous invite à cliquer là.

Aaah, ça vous donne peu d'indices mais je crois que ça vaut un clic de souris.

(En parlant de souris, ô stupeur, j'en ai chez moi. C'est la première fois de ma vie que ça m'arrive. Résultat, on va nous prêter une chatte et ses deux petits pour faire la chasse aux souris. Quand le temps du sevrage arrivera, on gardera un des deux chatons. Vous voulez le voir ?).

Par ici, c'est sympa aussi vous ne trouvez pas ?

Rendons à César ce qui est à César, en l'occurence à Binoo qui partage sur le blog Grannymania cette video (que je poste ici au cas où car oui, il m'est arrivé quantité de fois de me contenter d'indiquer le lien au lieu de la video en des temps où je blogais ailleurs sur d'autres thèmes et de n'avoir plus que mes yeux pour pleurer quand le blog en question fermait ou disparaissait). 

J'adore ce genre de ptits cadeaux fantastiques, pas vous ?

Je ressens une grande nostalgie de mes années de portage alors quand j'ai aperçu cette photo, j'ai eu envie d'aller voir de plus pèrs et ô suprise... après la robe, le manteau... la jupe !
Je trouve qu'avec un fond rouge, c'est particulièrement réussi car ça donne aux grannys un style folklorique.

D'autres photos sur le blog source : naturebaby_ru